mardi 17 décembre 2013

Mi-chtouille de Poulet fermier d'Ardenne



Pourquoi toujours de la dinde à Noël?
Imaginez un peu les élevages et les abattages avant Noël en Europe...

Soyons créatif et aidons les producteurs, diversifions nos achats.

Ingrédients: poulet fermier d'Ardenne (boucherie de la ferme à Pondrôme)  
chicon pleine terre Bio
Vitelote (Colruyt)
patate douce
Échalote ail, sel poivre, laurier

Lancer l'ail, les échalotes et les chicons au beurre de barate dans une casserole (en fonte de préférence ou gros cul) sel poivre, Laurier à feu vif.
Presque recouvrir d'eau. (au 3/4 si vous préferez)
Après 15 min, diminuer le feu, ajouter les vitelottes et patate douce coupée en tranche de max cm.
1 bouteille de Marie Blanche/
Laisser l'ensemble à feu doux 35 minutes (l'idée étant que le poulet se détache bien et que donc l'ensemble des ingrédients aient eu le temps de lâcher leurs saveurs dans la mi-chtouille)

Bon appétit.


lundi 9 décembre 2013

le fond des océans, magnifique pétition


Nous somme aussi responsable d'un manque de curiosité culinaire...par ex/ en mer du nord nous ne consomons qu'une vingtaine d'espèces sur près de 200 comestibles et "bons"...tout ça parce que que l'on reste accroché à notre cabillaud sc mousseline, notre lotte aux ptt légumes, soles meunières etcs....Si nous nous adaptons à consomer d'autres espèces on aurait pas besoin d'aller dévaster le fond des océans. Notre manque de curiosité et de creativité nous nuit. De toute façon il y a des métaux lourds et du plastique partout. Faudrait d'abord financer ces chalutiers à netoyer les océans avis aux génreux donateurs. Bonne semaine.http://ecologie.blog.lemonde.fr/.../peut-on-nettoyer-les.../


http://blended.fr/publicite/comment-un-dessin-va-ruiner-intermarche/?fb_action_ids=10152054459977044&fb_action_types=og.likes&fb_source=other_multiline&action_object_map={%2210152054459977044%22%3A1374256226157213}&action_type_map={%2210152054459977044%22%3A%22og.likes%22}&action_ref_map=[]

vendredi 15 novembre 2013







GOOD,
CLEAN AND
FAIR FOOD
COMMUNIQUÉ DE PRESSE


Dans le cadre de la venue de monsieur Carlo Petrini au Parlement Européen,


Slow Food Brussels et Slow Food
International organisent une manifestation festive devant le Parlement, place du
Luxembourg, destinée à la promotion du
bon, propre et juste.


Pourquoi ?
Nommé récemment Champion de la Terre par les Nations Unies, le discours de Carlo Petrini est logiquement de plus en plus écouté par les décideurs politiques dans le but d’atteindre à terme un système d’alimentation durable. La manifestation servira de relais concret à l’extérieur, suite aux débats qui auront eu lieu dans l’enceinte du Parlement.
Ce sera un moment d’échanges et de partage. Ce sera également une belle manière de
faire un minimum le buzz dans les médias.
Objectifs
- Créer l’événement, via Carlo Petrini qui invitera les eurocrates présents à son
allocution à sortir pour participer à un moment de revendications sympathiques
et conviviales.
- Montrer au décideurs européens que le mouvement Slow Food est très actif
et comptera de plus en plus dans les années à venir
- Faire la promotion d’une agriculture durable qui encourage la production
locale
- Fédérer les partenaires qui oeuvrent dans la même direction
- Partager les valeurs du Slow Food avec la population bruxelloise
- Permettre une rencontre entre eurodéputés, acteurs d’une alimentation durable et citoyens
Message
Le système de production et de consommation alimentaire le plus
communément appliqué à ce jour est dangereux pour la Terre, pour ses
écosystèmes et pour les gens qui y habitent.
Le goût, la biodiversité, la santé des hommes et des animaux, le bien-être et
la nature sont continuellement menacés. Cela souligne le caractère urgent de
produire et consommer avec des critères de gastronome, qui exerce son droit au
plaisir sans détériorer l’existence d’autrui ou l’équilibre environnemental de la
planète où nous vivons. Si, comme le dit le fermier et poète
Wendell Berry, «manger est un acte agricole», alors il s’ensuit que la
production alimentaire doit être considérée comme un «acte gastronomique».
Le consommateur oriente le marché et la production par ses choix et, en
devenant conscient de ce processus, il assume de nouvelles responsabilités. La
consommation devient une partie de l’acte de production, et le consommateur devient
donc un co-producteur. Le producteur joue un rôle-clé dans ce
processus puisqu’il travaille pour atteindre la qualité, en permettant aux autres de
bénéficier de son expérience et en étant ouvert aux connaissances et savoir-faire
d’autrui. L’effort doit être partagé !
EN PRATIQUE
Les Eurocrates présents à la conférence de Carlo Petrini seront invités à l’accompagner jusqu‘à la place du Luxembourg, afin de partager ensembleet avec la population, les valeurs du bon, propre et juste, dans une ambiance festive et conviviale.
Les partenaires de Slow Food Brussels auront chacun un stand et pourront se faire entendre. Ils proposeront une série de dégustations totalement gratuites !


- DISCO-SOUPE distribuera de la soupe faite à partir de légumes invendus et récupérés
- Dans le cadre de sa campagne «Chocolat Fair Trade & Bio», le RABAD offrira des dégustations de différents chocolatiers belges.
- Slow Food Brussels distribuera gratuitement du vin chaud bio.
- Différents fromages et du pain d’épeautre bio sera distribués par PIQNIQ.
- Il y aura également distribution et valorisation du cresson de la
cressonnière de Laeken par LA FERME


NOS PILIFS.
Des tracts seront distribués pour montrer l’engagement de l’ensemble de ces acteurs
pour un changement, d’où la création du slogan CHANGEFOR. Ces tracts
serviront également avant la manifestation pour informer de l’événement. La
communication s’effectuera également via les réseaux sociaux.
Qui dit manif, dit donc slogans :
CHANGEFOR
- GOOD, CLEAN AND FAIR food
- A SUSTAINABLE AGRICULTURE
- THE END OF FOOD WASTE
- MORE QUALITY ON OUR PLATES

dimanche 20 octobre 2013

"Taste Brussels" Slow Food 25 Restaurants in Brussels (speach EP 18 oct 2013)


Ladies and gentlemen, good morning,

Small presentation: my name is Philip De Buck and I m speaking today as a represantant of Slow Food Brussels.
After spending 15 years as a chef in my small hotel of south of belgium, I became to be a Organic Food Addict and also an adept of the ideologie of the Slow Food Mouvement.
Sins 10 years I’m working as freelance for Horeca sectory and green Events organisation.
Horeca in the name we use in Blegium to speak about Hotel-Restaurant and Café business.
This year with Slow Food Brussels we decided to do all we can to valorise et promote the Good, Clean and Fair wich are the three aspects of our philosophy into the HORECA business.
For us, the restaurants have an important educational role, recipes and dishes that they offer can help consumer to discover or rediscover the taste or flavor that assembly of new taste.
We hope with that processus to stimulate the consumer to buying product differently.
Chefs and owners of restaurants are trendsetters, they create new desires and new "trendy" food.
But unlike the trendsetters of fashion textile, their purchases have a much greater impact on agriculture and directly on the economy in general.
What we are trying to stimulate the sector to understand the human aspect of serving food.
Serving a good plate in a restauant is an kind of art and need a bit of “Love”
This form of love is closely linked to agriculture.
If we want to pt quaity in our plate we must encourage producers "Good, clean and fair."
Sins 6 years, Slow Food Brussels organized the event "Taste Brussels" in restaurants just for one week.
During this small week, 80 to 100 participating restaurants proposed a Slow Food menu or a Slow Food Dish....
We realized that it meant nothing, they just use the image of Slow Food to communicate to their customers, and they did’nt respect complytely theyre part of the “Deal”
And in a so short period the public does not have time to test all of these restaurants.
And some of them  bought a product "Slow Food" just once time for this week et then …basta…they stoped.
So, for this year (from septembre 2013 to septembre 2014) we decided to select only the 25 most motivated restaurants.
And that’s what they realy expect,  they were very happy to learn that Slow Food Brussels will support them during all the year.

But realistically what will they do this year? What does it mean to work in Slow Food way?
All interpretations are possible because the specification can be considered or interpreted as vague and is not well known by the general public.
So we ask them to sign a little agreement in which they agree to work one or more local and seasonal products indicating their origin and preferably the name of the producer.
For example, organic angus beef steak from Mr Andre Grevisse from Habay la Neuve south of Ardenne.
We asked them to provide a dish with belgium cheese or milk product. Organic is better but not required.
They must also propose a Belgian wine on there carte.
A easy way to promote our 78 belgium appelation….
Not buying fish over-fishing, not buying protected species, etc ...
Organic food is not mandatory, Slow Food is a step towards a better agriculture but also a step towards thinking. And we hope by that way to promote organic food in there mind.
To facilitate their work order or search provider which in their daily is not easy,
we give them a "catalog" of producers and pipeline of delivery.
They must also be member of Slow Food and truth that agrement they are supposed to know a little more about the Good Clean and Fair and begins to be able to argue and communicate themselves to their staff, customers, friends and family etc. ....
With Taste Brussels Action we also try to build bridges between all of these restauratants.
Horeca is an "industry" with almost 30,000 jobs in the Brussels Region for a little more than 6,500 companies. To this we must add the deliveraciers who depend on it, freelance etc…
As in all cities of the world, every restaurant working alone on their own, there is nearly no solidarity between them.
We believe that with Slow Food somes links are possible, as trade suppliers, common purchasing, joint actions or event may be finally imaginable. Even if on the beginning we have to push them a little bit.
During this year, we will support our 25 restaurants providing them visibility through the written press with whom we have "free" partnership agreements as well as national radio and tv.
Even if it has not always been the case, the kitchen is fashionable and media like to talk about. It is not very difficult to get support from the press.
With this support and partnership with the press at the same time we can communicate on the Slow Food Movement, which is not yet well known to the general public.
This is only the beginning ... the best in coming….we hope that our way to work will be follow by other coutry and cities.
For information, I wanted to tell you that among the 25 restaurants, there is a very motivated Greek gourmet restaurant. And they even agreed to put a Belgian wine in there “carte” wich is contained only Greek wines for over 10 years ....
You will find many other information on our wab site www.gouterbruxelles.be
And I hope that you have  a lot of questions..
Thank you for listening

jeudi 3 octobre 2013

Le Président Slow Food International élu "Champion de la terre" distinction largement méritée....



Carlo Petrini nommé «champion de la terre»








Carlo Petroni, grand gourmet parisien, tente de défendre les traditions alimentaires et la biodiversité avec son mouvement Slow Food.
Le fondateur du mouvement Slow Food est récompensé par les Nations unies pour son travail sur la pérennisation des traditions alimentaires locales et de la biodiversité à travers le monde.

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Le Programme des Nations unies pour l'Environnement (PNUE) vient de récompenser le fondateur de Slow Food, Carlo Petrini, «pour sa contribution exceptionnelle dans le domaine de l'environnement et du développement durable». Cette récompense-phare des Nations unies, reconnaît les individus visionnaires et les dirigeants exceptionnels qui ont fait leurs preuves dans de nombreux domaines tels que la politique, la science, l'entrepreneuriat ou encore les actions de la société civile.
On ne sait pas, cela dit, si le titre de «champion», un peu burlesque et plastique, est à la hauteur du travail remarquable de ce grand gourmet parisien, mais il salue une formidable œuvre réalisée par son mouvement Slow Food, constitué par un réseau de plus 100.000 personnes dans 150 pays.
Productions artisanales de qualité
Compte tenu des impératifs actuels de consommation et production durables, mais aussi de renforcement de la sécurité alimentaire, ce mouvement est devenu une force formidable pour défendre les traditions alimentaires et protéger la biodiversité locale en promouvant les productions artisanales de qualité, avec un regard grandissant sur les investissements dans les pays du Sud.
On notera qu'outre les salons organisés à Turin, les projets des Sentinelles et le réseau Terra Madre des communautés de la nourriture, les 250 universités et centres de recherche autour du monde promeuvent également la recherche et le développement d'instruments appliqués à la production alimentaire durable, à travers l'éducation et la formation.


http://www.unep.org/champions/news/Carlo-Petrini.asp